Paul.

Et l'amour sensuel, cette chose cruelle,
Et la haine encor plus cruelle et sensuelle
(Pléiade, p. 432)

Ah, ton corps, qu'il repose
sur mon âme morose
et l'étouffe s'il peut,
si ton caprice veut,
encore, encore, encore!
("Seguidille" (sic) Pléiade, p.237)

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime...
("Mon rêve familier")

Y el amor sensual, esa cosa cruel,
y el odio aún más cruel y sensual

Ah, tu cuerpo que reposa
sobre mi alma morosa
y la ahoga si puede,
si tu capricho quiere,
otra vez, otra vez y otra más.

Tengo a menudo este sueño extraño y penetrante
de una mujer desconocida a la que amo y que me ama.